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Le jeu « les échecs ».
Un jeu de réflexion et de stratégie. Puissant, aux combinaisons infinies. D’une grande complexité et pourtant accessible à tous, aux enfants et aux adultes, aux gens aisés et aux plus modestes, aux esprits supérieurs et aux plus simples, partout dans le monde. Peut devenir addictif. Une passion pour les uns, rébarbatif pour les autres.
– Le joueur d’échecs doit se concentrer de façon extrême pour gagner une partie. Il ne doit penser à rien d’autre lorsqu’il joue.
– Ce joueur réfléchit longuement avant d’agir, avant de faire un pas en avant.
– Il doit anticiper ce que l’autre joueur va faire.
– Il ne doit jamais oublier qu’il a quelqu’un en face de lui. Il n’est pas seul sur l’échiquier.
– Chaque camp croit que son roi est le plus important du monde.
– Chaque joueur va déployer tous les efforts pour préserver son roi.
– Tous les sujets et officiers sur l’échiquier se sacrifient pour le roi, pour le protéger, pour le sauver.
– Si le roi tombe, le reste ne compte plus, la partie est finie : échec et mat.
– Les pions : ils ne peuvent qu’avancer (jamais reculer) et ils se battent pour le roi alors qu’ils ne le connaissent pas, ils ne l’ont jamais vu (ils sont placés sur l’échiquier devant le roi et ne peuvent qu’avancer, ils ne le verront sûrement jamais).
D’accord, mais pourquoi parler de ce jeu dans le blog Moadon ?
Allez quelques efforts… Et hop ! Voici un parallèle facile avec la Torah, l’étude, le comportement d’un juif ou de n’importe quel homme dans le monde.
Alors, relisons tout cela en y pensant…
Le roi ? Facile c’est D.ieu
Les pions ? Les joueurs ? Le commun des mortels, chacun d’entre nous.
Oui, ça devient plus clair ?
André Bensimon
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